Alain Bonnand

Artiste Peintre

Découvrez l’art de la peinture par Alain Bonnand à travers ses diverses collections et expositions

Biographie Alain Bonnand

  • Date de naissance : le 5 mars 1949 à Crosne (91)
  • Travaille et vit à Saint-Cyprien 66750
  • Formation : Étudiant à l'atelier Met de Penninghen à Paris et à la faculté de Vincennes et dans les ateliers de la ville de Paris
  • Profession : Professeur d'Arts Plastiques, CAPES en 1973. Artiste peintre et dessinateur, retraité

Le mouvement surréaliste

Le mouvement surréaliste, défini par André Breton en 1924, repose sur le refus de toutes les constructions logiques de l’esprit et sur les valeurs de l’irrationnel, de l’absurde, du rêve, du désir, du sexe et de la révolte.

Automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale.

Le surréalisme repose sur la croyance dans une réalité supérieure de certaines formes d’associations négligées jusqu’à lui, et de la toute puissance du rêve, de l’inconscient, du jeu désintéressé de la pensée, et de la remise en cause des valeurs établies par l’esprit de révolte.

Les thèmes favoris des surréalistes sont le rêve, l’amour, le désir, la femme, le hasard et la folie.

Les peintres surréalistes ayant influencé Alain Bonnand sont René Magritte, Salvador Dali, Hans Bellmer, Max Ernst, Man Ray, et trois artistes contemporains Loïc Dubigeon, Bernard Gachet, Jean-Marie Poumeyrol.

Un des éléments fondateurs de la découverte freudienne a consisté à rendre indissociables le sexe et l’inconscient. Pas d’inconscient sans cette énergie psychique baptisée « libido » qui en constitue la force agissante. La libido, Freud ne fera pas de compromis sur ce point, est sexuelle.

Le tableau, cette chose parfaitement inutile et pourtant si répandue depuis la nuit des temps, joue un rôle essentiel : dompter, apprivoiser, réduire à presque rien le regard, soit à un point lumineux qui irradie le tableau et qui nous observe. « Il y a dans la peinture du dompte-regard » au point que celui qui regarde est toujours amené à « poser bas son regard ». Lacan parle encore de piège pour le regard, qu’il faut entendre dans ce même sens de voilement-dévoilement qu’opère toute peinture. Celui qui regarde, en déposant son regard devant la toile, se « reconnait » lui-même comme tableau, il devient tableau, c’est-à-dire qu’il advient comme sujet divisé en ce que le tableau le regarde.

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